Un an pile. Un an que j’ai commencé
à écrire des bêtises, pardon je corrige : à les mettre en ligne. Quarante-deux articles en un an, c’est un peu plus qu’un par semaine d’aménorrhée pour
accoucher à l’aide de ma souris. Pas de quoi en faire un fromage, sauf quand je fais un bris de mots.
Au gré de l’air du temps, du temps que j’ai, du temps qu’il fait, les idées se bousculent, elles font rarement la queue ces petites bêtes-là. Certains textes écrits en dix minutes, d’autres en plusieurs mois, le jour, la nuit, en salle de travail, sous la douche… Il n’y a pas de règle (normal, pour une aménorrhée…) si ce n’est celle de faire sourire les visages qui se posent sur ces lignes. A commencer par le mien.
Au gré de l’air du temps, du temps que j’ai, du temps qu’il fait, les idées se bousculent, elles font rarement la queue ces petites bêtes-là. Certains textes écrits en dix minutes, d’autres en plusieurs mois, le jour, la nuit, en salle de travail, sous la douche… Il n’y a pas de règle (normal, pour une aménorrhée…) si ce n’est celle de faire sourire les visages qui se posent sur ces lignes. A commencer par le mien.
Merci à vous, lecteurs de passage ou
habitués. Merci pour vos messages, vos commentaires, vos critiques qui me
permettent de progresser, même celles qui traduisent l'insoutenable capacité de certains êtres à plafonner au premier degré. Merci pour vos encouragements qui me touchent. En un an vous
avez été nombreux à m’écrire, pas loin de 13.000 à me lire depuis tous les
continents. Je n’ai récupéré qu’un troll qui m’a demandé d’arrêter d’écrire.
J’ai une mauvaise nouvelle pour lui. Je continue.