Nous sommes le 19 décembre. Je m'aperçois avec effroi qu'un mois est passé depuis mon dernier billet. Ce temps qui passe aussi vite que l'espoir de gagner à l'Euromillions est en soi un magnifique sujet d'écriture. Mais tant d'autres ont passé tant de temps à écrire sur le temps... Je reviens à temps. Je sais, on s'y attend, elle était facile.
Bref, j'ai été aspiré, en bon shadok parisien, par toutes les contingences et les aléas possibles, ou presque. Je suis devenu, enfin, j'ai continué à devenir, la caricature qui sert de carburant à ce blog. La boucle est bouclée !
Heureusement, il y a plusieurs brouillons dans la boîte et je vais m'empresser de les finaliser pour reprendre le fil qui nous lie... et qui nous lit.
A très vite,
A.